Tout ce que tu n'as pas dit, j'ai continué à écouter ça.
Sans raisonnement et simplement, j'ai continué à rêver.
J'ai continué d'aller loin de mon désir.
La douleur est plus que avant, encore je promettais moi même
Les yeux silencieux restent calmés.
Maintenant il n'y a pas les mêmes choses comme avant,
Quand je parle, les lèvres tremblent,
Le secret du coeur ne doit pas être révélé.
Je suis dans le trajet mais il manque le compagnon.
Continué à s'en aller,
N'arrêtait pas de se rapprocher.
Une fois de plus, il est en vue,
Je commençais de lui penser.
Les blessures du passé se froissent encore.
Ta situation n'est pas comme la mienne,
Pourquoi il y a du deuil dans mon bonheur?
Pourquoi cet temps revient-il ?
D'où j'étais parti très loin.
Le passé me hante à nouveau,
N'a jamais cessé de me blesser.
Tout ce que tu n'as pas dit, j'ai continué à écouter ça.
Sans raisonnement et simplement, j'ai continué à rêver.
Losing you is losing myself, Distressed, disdained & deprived. Your indifference kills me from inside, Real killer isn’t the hatred, But the apathy towards me.
Receiving & losing in the wink of an eye, Seems shocking to buy. With a lump in my throat and a heavy heart, I look at our broken pieces, And collect what was once mine.
Looking at you from this distance, Reminds me the days, When I was with love and the love was you. For you I lived, for you I smiled, It happens to few, with a smile when you cry.
Apathy has made it impossible, For even my loudest cry to reach you. Apathy has ruptured my heart, For even my biggest pain to feel you.
The pain won’t subside. Memories will always pierce the heart. Try if I might. Not in my cheering, I can forget your silence. It is nothing, only you, With that indifference, What kills me alone yet almost.
A bright red peck near the collarbone,
Defines her last night story.
Often the pangs of love are way too strong.
It cures her from the heartache at least for a while,
Distracting the busy heart,
Captivating her attention now and then.
These are love notes,
Given in flesh,
Deep into the skin.
A feeling only a passionate lover can comprehend.
She seeks them in every encounter with him,
They are blissful when given,
They are penetrating and uneven.
She doesn't want to be just touched anywhere,
Wants him to trail through her body in every way possible.
These love bites appear on her body more like love tales,
Some horny, some sweet.
Some trying to fill the appetite.
Few adorn the waist,
Few touch the back.
Some on the voluptuous thighs,
Some make her feel high.
These are purposeless,
Yet serves the hour every night.
Love bites though short lived,
Happen to mention the intensity of your lust.
Lifespan of such love reminders,
Matter not,
But, the one who gets,
Feels sane from top to bottom.
Love isn't soft,
Like those poets say.
Love has teeth that bite,
And the wounds never close.
Oh! cher Décembre,
Avant que tu partes,
Enlève ma procrastination,
Pour que je puisse m'entraîner à ne plus perdre de temps.
Oh! cher Décembre,
Avant que tu partes,
Enseignes moi, l'art d'accueille,
Les changements de la vie et me mouler dans une meilleure version de moi-même.
Oh! cher Décembre
Avant que tu partes,
Élimines mes angoisses et mes peurs lesquelles m'arrêtent de me sens positif.
Oh! cher Décembre
Avant que tu partes,
Pardones mes erreurs et laisse mes apprentissages grandir en moi.
Oh! cher Décembre
Avant que tu partes,
Promets-moi d'apporter les nouveaux traits ,
De joie, bonheur et patience.
Oh! Le mois dernière d'année,
Avant que tu partes,
Attendez encore quelques minutes!
Car il est temps pour moi de recueillir les souvenirs doux-amers.
Ça me dérange qu'il ne m'attende plus.
Pas du tout.
Cela me dérange que mes yeux le cherchent encore partout.
Quand il fait beau et que le vent est très calme, mon cœur me rappelle son visage.
Mais ça me dérange beaucoup de ne plus exister pour lui et je suis toujours folle de lui.
Cela me dérange qu'il trouve son inspiration sans moi alors que je le déclare être quelqu'un qui m'inspire.
Cela me dérange que ma désolation soit sa solitude.
En fait, il est clair qu'il ne me considère pas comme son âme sœur.
Cela me dérange que sa prédilection se soit inversée contre moi.
Avec une douleur exquise et un cœur brisé,
Ça me dérange que ce soit peut-être fini avec des larmes.
A mental note to myself in melancholy,
To let go of you and hence this mental scrutiny.
You have almost already gone,
To a place which is to me unknown.
The love we once shared is now burnt,
But the ashes smell like you,
And once again I end up thinking about you.
Your thoughts haunt me day & night,
I wish these dreary imaginations leave me in my plight.
Hard for me to forget that we held hands and walked together for miles,
A sudden jerk of faithlessness & time,
Has broken the love,
Love, that we once shared is smashed to smithereens,
Each tiny fragment mirroring me my excruciating defeat.
The love we once shared is now deceased,
And has begotten Apathy.
As they say truly,
All good things come to an end,
To an unbearable & a miserable end.
An abode of a fresh start once,
The house gave shelter to many dreams.
Every wall of this guardian,
Lived and lost with its inhabitants,
Tales of follies is all that it screams.
Life is unfair sometimes,
Residers leave but the house stays.
Time changes but the house remains.
Relationships rest yet the house waits.
Holding the memories, the treasures and the learnings,
Fulfilling the promise done years ago.
Destruction is easy, creation needs ages.
Discarding is effortless, maintenance takes time.
Exile seems a possibility, waiting is hard.
The house waited long, stood still,
No one bothered & it gave in.
Je ne savais pas qu'il me regardait tous les matins,
Quand le sommeil alourdit encore mes yeux,
Il reste prêt à s'y perdre.
Ignorant ses sentiments, je n'écris rien sur mon cœur.
Ses yeux me posent toujours une question quand on se croise.
Le battement de son cœur, fort et clair,
Je crains de ne pas lui permettre d'avoir la moindre idée de ce que je ressens.
Insuffisant dans mes tentatives pour prendre de la distance,
Il comprend bien ce que j'essaie d'échapper,
Et c'est là qu'il me tient dans ses bras et dit :
Tu es à moi maintenant, après et toujours.
Oh mon cœur, ne pleure pas pour lui, qui est parti et parti pour toujours.
Je le cherche ici et partout.
Mon cœur est vide sans sa voix, son amour et sa présence.
Chaque jour j'attends comme un fou à ma fenêtre,
Qu'il vienne me sourire à nouveau.
Je suis un imbécile parce que je crois toujours qu'il sera de retour dans quelques jours ou quelques années.
Mon cœur aspire à une dernière réunion avec lui,
Et après cela, notre histoire se terminera une fois pour toutes.
Je ne vais pas dire,
Je ne vais pas prouver.
Mon amour pour toi.
Tu est libre de me poser,
Tes interrogations encore.
Mais ça va être la dernière fois que je te réponds.
Oblige je suis,
Pour ce que tu m'as donné.
Mais ce que je sens pour toi,
Ce n'est pas indigent de ton aide.